+ Something secondhand and broken still can make a pretty sound

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~ onthewildside @ft katy perry

( anderson ) Elizabeth

'So let's just cry, cry on each other's shoulders cry until it's over, Can't it just be over ... And we'll just cry, cry, cry until it's all gone, been holding on for too long .... Time for us to move on. I'm tired of tryin' to find a reason why . So let's just cry. Let's just cry.'

~ identité

prénom et nom : Elizabeth Anderson. D'origine australienne (d'origine, seulement, elle vit aux Etats-Unis depuis ses un an), sa mère a toujours respectée la Reine Elizabeth II et a donné son prénom à sa fille. surnoms : Lilly, Lil, Elly, Bambi. âge et date de naissance : Elle a 26 ans et est née le 15 janvier 1984 à Sydney. Elle n'a jamais connu son père qui, ignorant de la grossesse de son ancienne petite amie, avait mis les voiles vers l'Amérique. expérience professionnelle : Elle a longtemps été dans le chorus de plusieurs shows, et a une fois obtenu un solo dans une reprise de CATS, mais elle est restée jusqu'à aujourd'hui une inconnue du grand public. métier et/ou formation : Elle a pris des cours de violon à l'orchestre de Londres, et prend régulièrement des cours de chant pour entretenir sa voix. Elle n'a pas de formation particulière. Récemment, elle a été choisie pour l'un des premiers rôles de la Comédie Musicale "CHICAGO". statut : divorcée, un enfant, et célibataire. nationalité : Australienne par droit du sang et américaine. orientation sexuelle : bisexuelle avec une légère préférence pour les femmes. Est-ce que tu as un rêve ? ici (une ou deux lignes ~) ~~veux-tu participer à l'audition ? (merci de se renseigner dans les annexes et le réglement)~~

~ Précisions

~ 001. Lilly est divorcée, et a eu un enfant de ce mariage ( Harrison, 6 ans) . Elle vit actuellement avec le père du bambin, duquel elle est restée très proches. Après tout, ils étaient meilleurs amis avant de se marier. Elle a eu Harrison relativement jeune, mais il n'a pas été la cause du mariage de James et Elizabeth. Elle l'aime plus que tout. ~ 002. Elle a grandi avec sa mère à Chicago. Elle n'a pas connue son père et s'entendant très mal avec sa génitrice. Elle a gardé peu de contacts avec cette dernière, par choix. ~ 003. Elle préfère les femmes, mais ne dira jamais non à un bel homme. Inconséquente, elle est incapable de rester fidèle. Non pas par qu'elle ne veut pas être monogame, mais parce qu'elle n'y arrive juste pas. Elle a très mal vécu les arrivées et les départs de tous les amants de sa mère. L'un d'entre eux l'a même violée. ~ 004. Elle a un chat et des poissons rouges. Ils s'entendent très bien, je vous assure. Elle adore les animaux. Le chat, Tinkerbel, est un mâle apathique et désagréable qui ne tolère que Lilly et Harrison, mais déteste totalement Jaimie. ~ 005. Elle s'habille de couleurs flashies et extravagantes. Elle aime ce qui est sexy et attire le regard, mais évite formellement le vulgaire. ~ 006. Elle n'est pas croyante, ou plutôt, elle est agnostique et préfère se poser des questions plutôt que de clamer qu'elle "sait". Elle est aussi végétarienne, milite contre la maltraitance (envers les hommes et les animaux) . Elle ne supporte pas la violence. ~ 007. Enfin, elle a été choisie pour interpréter l'un des personnages principaux de la comédie musicale Chicago : Velma Kelly.

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TRACK 01. ► TRACK 02. ► TRACK 03. ► TRACK 04. ► TRACK 05. ► TRACK 06. ► TRACK 07. ► TRACK 08. ► TRACK 09. ► TRACK 10. ►

~ question choix multiple

quel sont tes talents ?

écrire des scénarios
le chant
écrire des chansons
filmer

le théâtre
mettre en scène
danser
créer des chorégraphies

créer des costumes
inventer des mélodies
jouer un instrument
autre ? (préciser quoi.)

prénom &/ou pseudo : Cécile &/ou Crookshanks âge : 18 ans dédicace(s) : à ma Laura d'amour + Something secondhand and broken still can make a pretty sound 3917402146

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ma femme

MDP règlement : haha mot de fin : cyclops

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~ History has yet to be made

« Tu étais où ? » . Lilly se fige dans l'entrée, ses grands yeux bleus coupables fixés sur le sol, d'où ils ne se détachent pas. « Ce n'est pas tes affaires. » répond t-elle faiblement, posant son sac à main sur un petit tabouret. Jamie écrase son poing sur la table du salon, où il s'était installé pour l'attendre, la faisant sursauter, et claque sèchement « Je suis encore ton mari, que je sache. Et le père de ton gosse. Alors je me répète. Où étais-tu. ». Son ton intransigeant fait frémir la jeune femme. « J'étais ... dehors. » marmonne t-elle, sans croiser son regard accusateur. « Dehors ? Vraiment ? » ironise t-il « Comme hier, et avant hier, et le week end dernier ? Tu me prends pour un idiot ? ». Sa voix est contenue mais Lilly peut y percevoir le soupçon d'un sanglot. « J'étais à une répétition qui a terminé tard. » finit-elle par admettre, de mauvaise foi. Il ricane, déjà au courant de ce petite mensonge déjà-préparé, qu'elle lui a servi à toutes les sauces au cours des derniers mois. Il se lève pour s'approcher d'elle, et elle devine la senteur de l'alcool sur sa peau moite, de même qu'il peut sentir l'odeur de sexe et de sueur sur la sienne. Elle n'a eu le temps de se doucher. « Je vais répondre à ta place. » commence t-il « Tu es allée te faire baiser comme la salope que tu es dans l'arrière cour d'un bar miteux par le premier homme qui a voulu de toi. Et hier, c'était ton producteur qui s'est empressé de profiter de ta générosité en te demandant de lui tailler une pipe, ce que tu t'es bien entendu dépêchée de faire dans les toilettes du Starbucks. Le week end dernier, tu as été à une orgie et tu as pris du plaisir à te faire prendre comme une chienne par une dizaine d'hommes que tu ne connaissais pas. ». La lèvre inférieure de Lilly tremble et elle n'ose même pas démentir. Il vient de lui claquer dans les doigts des photos prises par un détective privé qui la prouvent coupable de toutes ses accusations. Elle se met à pleurer silencieusement. Il s'éloigne d'elle et ses yeux transpirent du mépris qu'il lui crache à la figure. « Ce que je ne comprends pas ... » il balbutie, et elle peut presque voir les larmes descendre sur ses joues « C'est pourquoi tu as fait ça. On avait des problèmes, mais ... On pouvait les surmonter. Je t’aimais. Je t'aime. ». Il la supplie presque. Elle sait qu'il veut qu'elle lui donne une raison de lui pardonner. Le pire, c'est qu'elle l'aime encore, comme une folle. Mais entre eux, ça ne colle plus. Ils sont trop différents, trop exigeants. Il est jaloux. Elle est presque incapable de rester fidèle. Ils se sont mariés quand ils avaient dix-neuf ans, et elle a tenu cinq ans avant de finalement céder aux plaisirs coupables de l'adultère. Et c'est vrai qu'elle n'a pas été très exigeante. Elle s'est même découvert un goût prononcé pour les femmes. « Je t’aime aussi. » se contente t-elle de répondre avant d’éclater en sanglots pathétiques. Elle tremble de tout son corps. Elle pense à son fils de cinq ans qui dort dans la chambre au bout du couloir, dans leur petit appartement. Son fils qu’elle avait complètement oublié lorsqu’elle sortait et ouvrait les jambes au premier venu. « Je n’arrive pas à décider qui tu respectes le moins dans ta phase d’autodestruction. » dit-il tristement « Toi, ou moi. ». Il s’accroupit à côté d’elle et lui caresse les cheveux. « S’il te plaît. » demande t-il encore une fois « Laisses moi t’aider. On peut dépasser ça ensemble. J’en suis persuadée. ». Elizabeth hoche la tête mais se déteste de ne même pas songer une seconde à respecter cette promesse silencieuse.
► TRACK ONE.
« C’était qui. » demanda Lilly, un soir, après avoir couché leur fils, les bras croisés et la posture nerveuse. Jaimie leva un oeil curieux dans sa direction « De quoi parle-tu ? ». Elle inhala à fond, tentant d’apaiser une colère qu’elle savait injustifiée « La fille. À ton boulot. Celle qui t’envoie des sms toutes les demi heures et qui te fait sans arrêt sourire. La fille que tu te fais dans mon dos. ». Un petit sourire satisfait ourla les lèvres de son compagnon « Pourquoi ? Tu es jalouse ? C’est un monde ! » elle fronça les sourcils et se mordit l’intérieur de la joue. « Je ne veux plus que tu la revois. » ordonna t-elle. Il ricana méchamment « Et tu penses que tu as ton mot à dire parce que ... ? ». « Je suis ta femme ... » claqua t-elle sèchement. Jaimie attrapa le script qu’il étudiait depuis une bonne heure déjà et en rangea calmement les pages dans son attaché-case, sans accorder un regard à la brunette qui, furieuse, tapotait ses doigts sur la table de leur salon. « Réponds moi ... » rajouta t-elle, plus désespérément, et comme il ne le faisait pas, elle murmura « Regarde moi. ». Enfin, il obéit, et ce qu’elle trouva dans ses yeux la fit reculer. Cette lueur d’adoration qui n’avait jamais quitté les iris brunes du jeune homme n’était plus là. À la place, une indifférence contrôlée. « Tu ne m’aimes plus ... » réalisa t-elle. Son coeur battait la chamade, et pour la première fois, elle sentit que sa vie lui filait entre les doigts et qu’elle ne pouvait rien faire pour la rattraper. Précipitamment, elle s’approcha de lui, enfonçant ses ongles manucurés dans la peau de James, alors qu’il tentait de se libérer de son emprise « On peut régler ça ... S’il te plaît ... On va trouver une solution ... Je ferai que tu m’aimes encore ... » supplia t-elle en sanglotant. « S’il te plaît » pathétique, elle s’accrochait à lui comme à une bouée « Moi, je t’aime encore. Je t’aime assez pour deux. ». Il sourit d’un air méprisant « Mais ce n’est pas assez, pas vrai ? Tu as toujours eu besoin de plus que ça pour être heureuse et - » « Mais je ne fais pas exprès, moi » le coupa t-elle « Quand je t’ai trompé, je ne le faisais pas par esprit de vengeance, ou parce que j’aimais ça. Je me haïssais. Je me sentais salie. Mais c’était des pulsions. Je me détestais, alors je me punissais de cette manière. Mais j’ai arrêté ! Je te jure ! ». Un étau de fer enserre sa poitrine et elle est à bout de souffle. Il contemple son visage, avant de dire gentiment « Elizabeth ... » il caresse son visage et remet derrière son oreille l’une des mèches qui cachait ses yeux « Je t’aime aussi. Mais je ne suis plus amoureux de toi. Et je veux un divorce. » elle s’apprête à protester, mais il pose une main sur sa bouche « On va s’autodétruire, si on continue à vivre comme ça. Je n’en peux plus de nos petites disputes mesquines. Et ce n’est pas un bon environnement pour Harrison. Tu étais ma meilleure amie, avant d’être ma femme. Je veux retrouver ça. ». Ses instincts maternels reprirent le dessus et elle acquiesça. Pour la première fois depuis des mois, il lui adressa un véritable sourire, et la prit dans ses bras pour la serrer . Fort. « Merci » murmure t-il à son oreille. Ils passèrent le reste de la nuit enlacés.
► TRACK TWO.

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je te souhaite pas bienvenue espèce de sale pétasse de demi-soeur qui essaye de me voler sans cesse la vedette
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**◗ messages :** 4 **◗ Inscrit depuis :** 30/06/2012

salut belle gosse non je ne suis pas atteinte d'un trouble de la personnalité
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